Foire aux questions

La Métropole accompagne les ménages à travers le dispositif de la Prime Air Bois. Cette aide financière locale peut se cumuler avec des aides nationales ou des aides complémentaires de quelques communes de la métropole.

Exemple : Pour un ménage de 2 adultes et 2 enfants, revenus compris entre 35 et 45 000 euros

• Poêle à granulés de 7 750 euros
• Aides financières : 1 000 € Ma prime Rénov' + 2 000 € Prime Air Bois métropolitaine
• Reste à charge : 4 750 euros

Contrairement aux idées reçues, les travaux et l'installation sont effectués en un ou deux jours. Les demandes d'aides doivent être faites avant de commencer les travaux et de signer les devis. Un contact en amont vous permettra également d'être conseillé par un technicien de l'ALEC qui vous aiguillera selon vos besoins (emplacement, régulation, ressource forestière à proximité...).

On ne peut pas brûler n’importe quoi dans un appareil de chauffage au bois.
Les emballages (briques de lait, plastiques d’emballages…) et le bois de récupération (vieux meubles, agglomérés…) sont à proscrire. En brûlant, ils dégagent des substances toxiques ou corrosives et encrassent les appareils.

La rénovation énergétique comprend deux grands ensembles de postes : les postes de l’enveloppe ou des parois (toiture, murs, menuiseries, plancher bas), et les postes des systèmes (chauffage, eau chaude sanitaire, ventilation). D’autres postes peuvent venir compléter ces ensembles (production de renouvelables, économies d’eau, assainissement…).

La pertinence du programme de travaux dépend de chaque projet, les travaux peuvent être choisis selon plusieurs paramètres :

• Le budget
• Répondre à un problème d’inconfort ou un besoin de réduire les factures énergétiques
• L’arrivée en fin de vie d’un équipement ou d’un système
• Lien vers le guide « Bien préparer son projet de rénovation »

Dans une logique de sobriété énergétique et de réduction des consommations, il est possible de prioriser les travaux en traitant d’abord l’enveloppe au mieux afin que les systèmes en place ou les nouveaux systèmes installés permettent le meilleur confort possible pour des consommations réduites tout en étant bien dimensionnés.

Oui, mais il est fortement recommandé de s’orienter si possible sur des travaux d’ampleur au niveau de l’ensemble de la copropriété. S’il n’y a pas de possibilités de faire des travaux d’isolation collectivement, il est possible d’améliorer les menuiseries ou traiter l’isolation par l’intérieur (lien fiche Isolation thermique par l'intérieur).

Il est possible de mettre en place un retour d’isolant d’environ 3cm d'épaisseur dans l’encadrement de la menuiserie pour couper le pont thermique du tableau. Si les menuiseries sont changées lors des travaux il est possible de poser les nouvelles fenêtres en applique ou au nu du mur pour que l’isolation rejoigne directement le dormant (partie fixe) de la fenêtre.

Il est possible de mettre des panneaux chevillés-collés, de mettre en place des panneaux entre ossature, ou créer des caissons pour une isolation insufflée. Le type de pose est à choisir en fonction du choix d’isolant et du mode constructif.

Les critères actuels pour les aides nationales pour l’isolation des murs sont donnés en fonction de la résistance thermique. La résistance thermique R doit être > 3.7 (isolation par l’intérieur et MaPrimeRénov’ en poste par poste) et R > 4.4 (isolation par l’extérieur dans le cadre de MaPrimeRénov’ Rénovation d’Ampleur), ce qui équivaut à environ 12 à 16cm d’isolant (critères 2025).

Les isolants les plus répandus pour l’isolation de parois sont les laines minérales (laine de roche, laine de verre), les laines végétales (laine ou fibre de bois), et les isolants en polystyrène et dérivés. L’isolant doit être choisi en fonction du mode constructif et des matériaux de la paroi (béton, ossature bois, brique, pierre ou mâchefer…), le bâtiment ancien a des spécificités et ne peut pas toujours être traité avec les mêmes matériaux que le bâti moderne.

Avant d'isoler un mur, il est primordial de s'assurer qu'il est sain et qu'il ne présente pas de traces d'humidité. Le traitement des zones humides est indispensable avant tous travaux d'isolation pour ne pas dégrader les murs ou altérer la qualité des matériaux isolants.

L’isolation par l’extérieur est à privilégier par rapport à celle par l’intérieur car elle présente les avantages de traiter les ponts thermiques, d’augmenter l’inertie de la maison (et donc son confort), de limiter les risques de condensation et de conserver la surface habitable. L’isolation par l’intérieur, bien que moins performante, est parfois

inévitable dans le cas où l’isolation par l’extérieur n’est pas possible. Dans ce cas, une attention particulière doit être apportée à la gestion des ponts thermique, et un pare-vapeur doit être posé côté intérieur de l’isolant pour assurer l’étanchéité à l’air.

De nombreux cas de figure peuvent être abordés car tout dépendra de la configuration des murs, de la toiture et du mode constructif : lien vers les fiches Réussir le traitement des interfaces en rénovation performante par étapes de DOREMI.

Une isolation réellement efficace améliore non seulement le confort d’hiver en limitant les déperditions mais aussi le confort d’été en évitant les surchauffes dans les pièces situées sous la toiture.

Pour être performante, cette isolation doit combiner plusieurs caractéristiques :

• Une épaisseur importante et une bonne résistance thermique,
• Le traitement de l’étanchéité à l’air,
• Une isolation plus dense peut être plus efficace pour ralentir la chaleur arrivant par la toiture (les matériaux biosourcés sont dans ce cas un atout).

L’isolation peut être traitée du côté intérieur du rampant, et complétée dans la partie comble perdu par-dessus le plafond technique existant. Il est également possible de traiter l’ensemble de l’isolation par l’extérieur, tout dépendra des besoins et des contraintes du site (lien vers fiche sarking).

Il est recommandé de mettre en œuvre une isolation dépassant une résistance thermique R > 7, ce qui équivaut à environ 30cm d’isolant insufflé (critères aides nationales 2025). Attention : si le plancher du comble n’est pas une dalle béton étanche à l’air, il est fortement recommandé de mettre en place un frein-vapeur sous l’isolant insufflé (critères aides locales Mur Mur 2025).

Concernant les rampants la résistance thermique doit être R > 6 (~25cm).

Pour les toitures-terrasses il est recommandé de dépasser une résistance thermique R > 4.5 (~20cm) ou 6.5 dans le cas d’une demande de MaPrimeRénov’ Rénovation d’Ampleur (2025).

Les surfaces de toiture à isoler peuvent être constituées de combles perdus, de combles aménagés ou de toitures-terrasses. Faire une isolation des combles perdus par le plancher est la solution la moins coûteuse et la plus simple. Pour isoler les rampants de toiture (dans le cas des combles aménagés) vous pouvez isoler les rampants de toiture par l’intérieur. La méthode la plus courante est de poser l'isolant en rouleaux ou en panneaux sous et entre les chevrons. Un pare-vapeur doit être posé contre l’isolant, côté intérieur pour assurer l’étanchéité à l’air. Le "sarking" consiste à réaliser une isolation par l'extérieur de la toiture, entre les chevrons et sur la charpente. Elle est plus performante, car elle supprime les ponts thermiques de la charpente. C'est néanmoins une opération lourde qui nécessite une dépose de la toiture. L’isolation des toitures-terrasses est impérativement à traiter par l’extérieur pour éviter de soumettre la dalle à des amplitudes thermiques importantes et éviter des problèmes structurels.

Le plancher bas est un élément structurel important : il faut donc s’assurer que le poids de l’isolant et des autres éléments (chapes, carrelage, cloisons…) mis en place lors des travaux soit vérifié pour s’assurer qu’il sera bien supporté par la structure (surtout dans le cas de planchers légers (bois). Rapprochez-vous de professionnels pour avoir plus d’informations sur cet aspect technique très important.

La surface du plancher bas peut également être une source importante d’infiltrations, ce qui peut dégrader très nettement la qualité de l’air intérieur (en remontant de l’humidité depuis le sous-sol par exemple). Il est donc recommandé de traiter les traversées du plancher bas avec du matériel adapté (manchettes, enduits de rebouchage).

Les planches bas en bois ont souvent la spécificité de ne pas être étanches à l’air (sauf s’il ont déjà été recouverts par une chape ou d’autres revêtements étanches), il faut donc prêter attention au traitement de l’étanchéité à l’air afin d’éviter tout problème de condensation, surtout au niveau des éléments structurels (solives).

L'isolation par le dessus nécessite des travaux lourds (réfection totale du plancher, réhausse des seuils de porte...) qui peuvent parfois être difficiles à mettre en œuvre en rénovation, et s'avérer coûteux. L'isolant est dans ce cas posé sur le plancher et recouvert d'un revêtement afin de pouvoir circuler dans les pièces.

L’isolation d’un plancher bas en sous-face est très avantageuse pour conserver de l’inertie dans le cas des dalles en béton, il est possible de mettre en œuvre cette isolation lorsque le plancher bas donne sur des locaux non-chauffés (caves, garages, etc..) ou des vides sanitaires suffisamment hauts et accessibles (> 50cm de hauteur). Cette isolation peut se faire par projection d’un isolant ou par collage et/ou chevillage de panneaux d’isolant.

Les baies vitrées sont des surfaces déperditives importantes (la résistance thermique des parois vitrées est plus faible que celle des parois opaques, surtout isolées), leur étanchéité n’est également pas toujours bien assurée, notamment dans le cas de baies coulissantes, dont la conception ne permet pas une étanchéité parfaite même lorsque la baie est fermée. Il existe des modèles dits « à frappe » ou « à translation » permettant une fermeture plus étanche de la baie.

Les menuiseries sont des surfaces très déperditives par nature, il n’est pas possible d’isoler une fenêtre, même très performante, autant qu’une paroi opaque. Les menuiseries en triple vitrage ne permettent donc pas des performances exponentielles par rapport au double vitrage, mais il s’agit toutefois des menuiseries les plus performantes. Le choix sera parfois donc orienté en fonction d’autres paramètres (budget, système de ventilation).

La pose en rénovation consiste à garder l’ancien dormant de la menuiserie et poser le nouveau dormant par-dessus, ce qui peut impliquer de nombreux problèmes d’étanchéité (si l’ancien dormant est dégradé ou si l’étanchéité lors de la pose a été mal mise en place par exemple, ou avec du matériel inadapté).

La dépose totale de l’ancien dormant sera souvent privilégiée pour le traitement de l’étanchéité à l’air car elle permet de mettre en place un joint de type « compriband », ce qui permet de garantir un bon traitement de l’étanchéité lors de la pose.

L’indice AEV (Air-Eau-Vent) est un bon indicateur sur la menuiserie en tant que tel. (étanchéité à l’air, l’eau et au vent), il est recommandé pour que les menuiseries soient les plus étanches possibles que l’indice d’étanchéité à l’air A soit = 4.

Pour que la nouvelle menuiserie permette les performances attendues en terme d’étanchéité à l’air il faut également que la pose mise en œuvre soit effectivement étanche : l’étanchéité entre le nouveau dormant (partie fixe de la menuiserie) et l’encadrement doit être traitée avec du matériel adéquat.

La capacité d’isolation d’une fenêtre est mesurée par le coefficient Uw. Plus celui-ci est faible et plus la fenêtre est isolante. Un autre coefficient à prendre en compte est le SW qui traduit la capacité du vitrage à transmettre la chaleur solaire. Sa valeur est comprise entre 0 et 1. Plus elle est élevée et plus les apports solaires sont importants.

Les menuiseries considérées performantes et éligibles aux aides doivent avoir un indice de conductivité Uw < 1.7 ainsi qu’un indice Sw>0.36 ou un Uw < 1.3 et un Sw > 0.3. Il s’agit généralement d’un double vitrage 4/16/4 (16mm de gaz isolant entre les deux verres).

Tous les systèmes de chauffage considérés comme performants peuvent être subventionnés : chaudières performantes à biomasse (bois, granulés), appareils de chauffage au bois performants (poêle à granulés, poêles à bois, inserts ou cuisinières labellisés flamme verte), chauffage solaire, pompes à chaleur.

La Métropole peut vous verser jusqu'à 2 000 € d'aide via la Prime Air Bois (sous condition de ressources) pour remplacer votre vieille cheminée ou votre ancien poêle à bois.

Nous recommandons de remplacer son système de chauffage seulement si le logement est déjà isolé.

En effet, les travaux d’isolation sont à privilégier par rapport au changement de chauffage pour plusieurs raisons

• Les travaux d’isolation ont généralement une durée de vie bien supérieure aux systèmes de chauffage, ce qui les rend plus rentables sur le moyen et long terme.
• Plus l’isolation est bonne, moins il est nécessaire de chauffer. Le chauffage pourra donc être un système plus simple et moins puissant, et donc moins coûteux.
• Les travaux d’isolation permettent un confort accru, été comme hiver, ce que ne permet pas le remplacement de son système de chauffage.

Il est recommandé de remplacer des systèmes de chauffage très polluants (poêles ou chaudière au fioul par exemple) ou arrivant en fin de vie, tout en envisageant si possible des travaux d’isolation pour que le nouveau système permette des consommations réduites.

Si vous n’avez pas de chauffage central (chaudière qui alimente un réseau de radiateurs), les poêles à bois récents (bûches ou granulés) sont les solutions les plus économiques et performantes :

• Le bois est l’énergie la plus économique sur le marché de l’énergie, et parmi les différents systèmes, le chauffage au bois bûches est à l'heure actuelle le moins cher. Pour un logement bien isolé, un poêle à bois ou à granulés peut être suffisant comme système de chauffage. Bûches, granulés, bois densifié ou déchiqueté, le bois utilisé est de plus une ressource naturelle, renouvelable et souvent locale.
• Le coût à prévoir pour l’installation d’un poêle à bois ou à granulés est en moyenne de 5 000 €.
• Vous pouvez bénéficier de la Prime air bois de la Métropole, pour renouveler votre ancien chauffage au bois.

Si vous avez un chauffage central, vous pouvez aussi opter pour un chauffage solaire, une chaudière à bois (bûches ou granulés) ou une pompe à chaleur. Ces systèmes sont économiques à l’usage mais coûteux à l’investissement.

• Production via le système de chauffage (chaudière, pompe à chaleur ou poêle bouilleur),
• Chauffe-eau solaire,
• Chauffe-eau thermodynamique.

Pour des fiches complètes sur les différents systèmes de chauffage et d’eau chaude sanitaire sur Info Energie 38 - Ressources

Dans des bâtiments bien isolés et performants sur le plan énergétique, le poste de l’eau chaude sanitaire peut devenir une source de consommations énergétiques importante. Le système d’eau chaude sanitaire peut être renouvelé en même temps que le système de chauffage lorsque celui-ci est mixte et qu’il est pertinent de le remplacer.

Il est également pertinent de remplacer un ancien système de production d’eau chaude sanitaire (ancien chauffe-eau, système performant mais mal dimensionné).

Dans le cas où le système de production d’eau chaude sanitaire est récent et plutôt performant (cumulus bien isolé et bien dimensionné par exemple), il est possible de les garder afin de ne pas contribuer à une obsolescence d’appareils.

• Ventilation mécanique par insufflation (VMI) : le moteur va dans ce cas souffler de l’air dans le logement, tandis que l’air vicié sera extrait au niveau des menuiseries des pièces humides.
• Ventilation mécanique répartie (VMR) : ce système repose sur le même modèle que la VMC simple flux (extraction de l’air vicié dans les pièces humides), mais il est composé d’extracteurs individuels situés dans les pièces sèches. Ce système peut être installé lorsqu’il n’est pas possible de mettre en place un réseau de gaines.
• D’autres systèmes existent, complémentaires aux systèmes existants : les puits canadiens (ou puits provençaux qui permettent de réguler la température de l’air entrant) ou les VMC thermodynamiques qui permettent de combiner la ventilation double flux au chauffage, rafraichissement ou production d’eau chaude sanitaire.

La ventilation double flux permet d’assurer un renouvellement d’air constant, y compris lorsque l’enveloppe du bâtiment est parfaitement étanche, et recycle la calorie de l’air extrait. C’est donc le système permettant le plus de performance sur l’enveloppe des bâtiments, mais aussi des économies de chauffage, lorsqu’il est installé convenablement.

La ventilation double flux va fonctionner, y compris si des défauts d’étanchéité sont laissés dans l’enveloppe. Il est conseillé dans tous les cas de réparer d’éventuels défauts d’étanchéité laissés dans l’enveloppe pour plus de performance.

Contrairement à la simple flux, l’air entrant n’arrive pas directement de l’extérieur, mais il est insufflé par un réseau de conduits après avoir été réchauffé par l’air sortant grâce à un échangeur. Ainsi, une VMC double flux est plus performante énergétiquement en période de chauffe car elle permet un préchauffage de l’air entrant. Outre ce gain de confort, elle permet également une meilleure qualité de l’air, et une amélioration du confort, été comme hiver.

L’air vicié est extrait des pièces humides (cuisine, salle de bain, toilette) et rejeté vers l’extérieur. Par dépression, l’air neuf pénètre dans les autres pièces, dites sèches, par des entrées d’air (généralement des réglettes aux fenêtres).

L'arrêté du 22 octobre 1969 impose une ventilation permanente et générale dans les logements, notamment lorsque les fenêtres sont fermées à cause du froid en hiver. L’installation d’une ventilation est par ailleurs fortement recommandée car c’est le seul moyen d’assurer un renouvellement d’air constant et contrôlé en remplaçant l'air "vicié" par de l'air "neuf". L’air intérieur d’un logement est pollué par l’occupation des locaux apportant humidité, CO2, matériaux (peintures, enduits, colles…), poussières, composés organiques volatiles, allergènes… Pour évacuer ces polluants et renouveler l’air, il existe plusieurs types de ventilation.

Les solutions utilisées dans le cas du bâti ancien doivent impérativement être compatibles avec les principes de fonctionnement de ces parois :

• Respecter les transferts de vapeur d’eau dans la paroi en étant de plus en plus ouverts à la migration vers l’extérieur (Sd)
• Assurer une continuité capillaire pour éviter la condensation
• Les solutions à base de polymères fermés à la vapeur d’eau (polystyrène, polyuréthane) sont fortement déconseillées.
• Dans le cas d’isolation ou de réfection intérieures, une attention doit être portée sur la mise en œuvre des éléments d’étanchéité à l’air (membranes, enduits) et aux parements.

Les bâtiments anciens sont généralement définis par leur date de construction (avant 1945). Sur le territoire de la Métropole, ils sont constitués de plusieurs typologies récurrentes :

Les immeubles anciens du centre-ville

• Immeubles médiévaux (époques médiévales et Renaissance),
• Les immeubles en périphérie du centre (18è siècle),
• Les bâtiments de style haussmannien (19è siècle), combinant souvent le béton et la pierre

Les bâtiments et maisons individuelles des faubourgs (entre 1850 et 1960), en pierre ou en mâchefer

Les bâtiments et maisons individuelles rurales (type corps de ferme ancien, avant 20è siècle), généralement en pierre, pouvant avoir des spécificités architecturales selon leur emplacement (Chartreuse, Vercors, Belledonne, plaine).

Les bâtiments en pisé sont très peu représentés sur le territoire de la Métropole, la zone inondable de l’Isère ayant conduit à généraliser l’utilisation du mâchefer, résistant à l’eau.

Une fois que vous aurez défini votre budget de travaux et pris connaissance des aides financières disponibles, il existe plusieurs possibilités d'aides pour financer votre reste à charge. Accessible à tous, le plus connu est l'éco-Prêt à Taux Zéro. D'autres prêts existent, disponibles selon votre situation : le prêt Avance Rénovation ou l'aide au financement des caisses de retraites. Renseignez-vous auprès de votre banque.

• De nombreuses aides financières existent :
  • au niveau national : MaPrimeRénov', les Certificats d'Économies d'Énergies
  • au niveau local : aides de la métropole grenobloise (primes Mur Mur, Prime Air Bois, aide solaire thermique...) aides de certaines communes de la métropole.
• Calculez les aides auxquelles vous avez droit grâce à notre simulateur en ligne.
• Important : les aides sont à demander avant la signature du devis, et versées après paiement de la facture.

• Le coût d'une rénovation varie en fonction de la surface de votre logement, de l'ampleur de vos travaux...
  Consultez des exemples de projets de rénovation de maisons ou de copropriétés pour vous donner une idée des montants des travaux et des aides envisageables.
• De nombreuses aides financières existent et des prêts peuvent vous aider à financer vos travaux.
  

  Si vous en savez plus sur les travaux que vous souhaitez réaliser dans votre maison, vous pouvez calculer vos aides grâce à notre simulateur en ligne.

• Important : les aides sont à demander avant la signature du devis et versées après paiement de la facture.

• Pour vous aider à effectuer vos démarches numériques ou administratives, contactez les PIMMS (Grenoble et Pont-de-Claix).
• Votre dossier concerne MaPrimeRénov" (dispositif géré au niveau national et non local) ? Contactez les services de l'ANAH au 9 808 800 700 (service gratuit + appel)
• Si la difficulté porte sur la partie technique du dossier (caractéristiques techniques du projet, non conformité du devis...), contactez l'ALEC.